HAUTS-DE-SEINE La FSU quitte la séance du Comité Technique Ministériel de l’Éducation Nationale. La FSU a décidé d’exprimer la colère et l’inquiétude des personnels en quittant cette séance du CTMEN où sont présentées des mesures de rentrée d’ores et déjà décidées qui vont continuer de dégrader les conditions d’études des élèves et de travail des personnels. [...]
Le SNPES-PJJ et le SNEPAP,au sein de la FSU au ministère de la Justice, appellent l’ensemble des personnels à lutter contre les projets destructeurs pour la société et le service public.
"Nous appelons à organiser des actions de grève et de manifestation partout où c'est possible, notamment le 19 décembre par des mobilisations locales et ce, jusqu’à la fin de l’année. Sans réponse du gouvernement dans les heures qui viennent, elles décideront des suites nécessaires, au- delà du mois de décembre."
Syndicat National des Personnels de l'Éducation et du Social Protection Judiciaire de la Jeunesse "Ce projet de Code ... amenuise le temps éducatif pour lui substituer un système punitif axé sur une mise à l'épreuve et l'enfermement plutôt que de prendre en considération la problématique individuelle de l'enfant.
Tribute: SNES de Lille
«... la FSU a largement impulsé la dynamique dans les secteurs où elle est en responsabilité, et la mobilisation continue. Après ces cinq jours de congrès, nous avons réaffirmé avec force que nous ne laisserons pas passer la destruction annoncée de notre système solidaire de retraite, nous continuerons à mettre nos forces dans cette bataille d’ampleur [...]
Profondément attachées à la solidarité, nous refusons la division entre générations et catégories professionnelles et de laisser nos jeunes collègues subir cette réforme. Nous n’accepterons jamais de sacrifier nos enfants et petits-enfants. Pour nous, la retraite à 64 ans, c’est non.
Paris : samedi 23 novembre RDV 14h Place de l’Opéra Les violences faites aux femmes sont l'une des violations des droits humains les plus répandues dans le monde. La FSU exige des moyens ambitieux.
Les organisations signataires refusent un nouveau passage en force et ne siègent pas au Conseil Commun de la Fonction Publique.
Communiqué suite à la parution du rapport Mathiot-Azéma